Quelle chance le cyclone est passé très vite; quelques radiers (passages à gué ) emportés par les flots. mais c'est ensuite que cela semble le plus pénible: chaleur terrible , très humide. c'est intenable surtout dans les voitures même avec la clim. e me souviens du post-Gamède il y a 5 ans: je ne m'étais jamais senti mal à cause la chaleur comme les jours suivant le cyclone. Et là c'est pareil. Restons donc au calme et pour se rafraichir ce sera la piscine du proprétaire du studio où je loge.
L'autre problème, qui ne me concerne plus mais touche encore des centaines de personnes, ce sont les vols(en avion): le journal titre "c'est la grande pagaille à Gillot": et plein de gens râlent: certes il est désagréable de devoir attendre pendant des heures dans une atmosphère à peine climatisée voire pas du tout, pour savoir si on aura un vol pour rentrer chez soi, mais un peu de compréhension tout de même: comment gérer avec le même matériel et le même personnel l'arrivée de deux avions et celle de huit en l'espace d'une heure? comment gérer les reports de vol alors que tous les vols normaux sont pleins ou pratiquement? il faut bien que les passagers repartent de l'ile ou y reviennent: alors s'il faut 4 jours pour absorber tout cela rien d'étonnant: engueuler les compagnies aériennes, manutentionnaires et personnels divers de l'aéroport ne sert à rien : de plus c'est l'époque des vacances d'été, une partie du personnel est en vacances.dérangeant peut-être pour certains mais est ce que l'on ne supporterait plus aucune contrariété? ni les caprices de la nature?
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